À propos

Qui suis-je?

Lyse Trottier                                                   

ou « Kata-Lyse »

Enfant, ma marraine m’appelait sa petite sorcière. J’adorais cela. Ça me donnait l’impression que je pouvais transformer ma vie à ma guise. Toute jeune, je sentais la présence de la forêt autour de moi et j’avais le goût de raconter des histoires pour elle, pour les plantes, les minéraux et les animaux.

En grandissant, je leur ai fait le serment que je ferais entendre leur voix. Au tournant des années 90, j’ai commencé à rencontrer mes premiers publics en bibliothèque. Pour les enfants, je créais des marionnettes et des contes animistes.

Sur scène, une conteuse peut raconter tout ce qu’elle veut, on l’excuse, on dit qu’elle fabule. Faire de la scène m’a permis de raconter des anecdotes de magie vécue. .

Rapidement, mon carré de sable s’est étendu, je suis passée d’une Bibliothèque à plusieurs,  j’ai conté au Musée de la civilisation,  à l’Espace 400Ème, et plus encore.

On a fait appel à moi pour de la formation, dans des programmes pour la petite enfance, en techniques de documentation, pour des guides animateurs de musée…

En 2016, j’ai pris  la décision de comprendre davantage les rouages de l’imaginaire en commençant des études, très importantes pour moi, en hypnose holistique. Il faut dire que je suis douée pour l’auto-hypnose depuis mon enfance et que je fais des rêves inspirés afin de bonifier mes contes  et parfois même, je rêve à de nouvelles histoires du début à la fin! 

Mes nouvelles connaissances m’ont amenée  à créer des ateliers d’écriture originaux, inspirés de notions en hypnoses et de transes créatives. 

Dernièrement,  à l’automne 2022, j’ai commencé à illustrer mes textes grâce à des logiciels à la fine pointe de la technologie. 

Soudain, le crapaud a regardé les étoiles dans le ciel et s’est senti aussi beau qu’elles.  Extrait du conte du crapaud qui voulait être beau. L.T.  

« Pour voler, il ne suffit que d’une plume, la vôtre! » Lyse Trottier, créatrice des ateliers d’écriture Hypno’plume